Pour lutter contre la crise économique et financière causée par le Covid-19, les banques centrales ont décidé de faire tourner la planche à billet à plein régime. De nos jours celle-ci prend la forme de programme de rachat d’actifs massifs, financés par les banques centrales qui tout simplement créditent électroniquement les comptes des banques des vendeurs. Pratique… On appelle cela le « Quantitative Easing ». En la matière, la réserve fédérale américaine est sans aucun doute la plus active. En seulement, un mois, la taille du bilan de la FED a ainsi augmenté de près de 1000 milliards de dollars, dont 625 milliards la semaine dernière. Et elle ne compte pas s’arrêter là, puisque des programmes ciblés sont également ressuscités (prêts hypothécaires, obligations d’entreprise, prêts automobile, etc.). Il sera bientôt plus simple de faire la liste de ce que la FED n’achète pas… Cette nouvelle vague de Quantitative Easing est d’ailleurs « illimitée » puisque l’institution a supprimé le plafond de 700 milliards de dollars qu’elle avait précédemment. Les programmes de rachats d’actifs (faire tourner la planche à billet) comportent des risques à moyen terme, notamment l’inflation et perte de confiance dans la monnaie. Deux scénarios dans lesquels l’or se comporte généralement bien puisqu’il est considéré comme une monnaie alternative disponible en quantité limitée.
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