Par ailleurs, l’once a grandement profité de la dépréciation du dollar, sur fond de statistiques macroéconomiques américaines décevantes (notamment celles de l’emploi et du secteur des services). Mais le tassement des inquiétudes autour de la stratégie monétaire FED a servi de contrepoids à ce mouvement de hausse.
Rappelons tout de même que, mardi dernier, le métal jaune avait dépassé les 1 352 dollars, soit son record personnel depuis la dernière semaine du mois d’août, sur fond de dépréciation du dollar. Le billet vert a toutefois été sauvé par les déclarations de plusieurs responsables de la FED concernant un potentiel relèvement progressif des taux, dans les quelques semaines à venir.
Eric Rosengren, président de la Fed de Boston, est le dernier, en date, à renforcer cette perspective, en déclarant qu’il « était temps de normaliser graduellement la politique monétaire américaine ».
Matt Johnson, directeur de la distribution européenne chez Source, estime que ce scénario est très peu probable. Pour l’expert, même les investisseurs les plus pessimistes (et donc en mal d’assurance-avenir) sont conscients qu’une « proportion considérable de la dette souveraine en devise forte affiche des rendements négatifs », du coup, « leur choix se porte naturellement sur l’or ».
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