Tour de table des réactions des principaux économistes et analystes. Pour la quasi-totalité des experts, cette issue était prévisible sur la base même de l’absence iranienne de ces 6 longues heures de discussions. Difficile en effet d’envisager un potentiel accord -peu importe sa forme ou son contenu- sans la participation active de l’Iran.
Chez Saxo banque, on estime que « cela aurait consisté, pour l’Arabie Saoudite, à donner un blanc-seing à Téhéran afin de regagner des parts de marché à son détriment ». Pour Aurel BGC aussi, cet échec reflète essentiellement le refus de l’Arabie Saoudite de valider un quelconque accord sans l’Iran, notant également « qu’aucune date n’a été fixée pour une nouvelle réunion », ce qui laisse plusieurs points d’interrogation en suspens, concernant l’avenir même du marché pétrolier. L’équipe d’experts rappellent d’ailleurs que, d’après l’agence d’informations financières Bloomberg, « la production pétrolière du Koweït a chuté à 1,1 million de barils », enregistrant ainsi une dégringolade de l’ordre de 60%, « suite à une grève de plus de 7.000 salariés ».
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