Les observateurs maintiennent également une analyse tout aussi conjoncturelle de la récente progression (stagnation) de l’or, à l’image des experts de Commerzbank qui l’expliquent par « la dépréciation du dollar et la hausse du pétrole, autant d’éléments qui réduisent la crainte d’un nouveau recul de l’inflation », rappelant que le métal jaune est traditionnellement conçu comme une valeur refuge, « notamment contre la hausse des prix ».
Parallèlement, les opérateurs continuent à surveiller de près les résultats trimestriels des entreprises cotées, conscients de l’importance que cette saison revêt, en l’absence d’autres catalyseurs solides, et notamment suite à la déception du sommet pétrolier de Doha. Chris Weston –analyste chez IG– estime néanmoins que l’absence d’accord, au terme de la réunion de l’Opep, demeure logique, soulignant que « l’Iran n’allait tout de même pas accepter de geler sa production alors que son programme nucléaire vient d’être arrêté en échange d’une levée de l’embargo sur ses exportations pétrolières ». La question est toutefois maintenue concernant la progression à court terme du marché pétrolier et l’orientation que prendront les investisseurs ; rachat de positions en masse ou repli vers les 35 dollars le baril de brut.
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