Durant le quatrième trimestre 2011, la demande de la Chine avait même dépassé, pour la toute première fois, celle de sa rivale indienne : 201,6 tonnes chinoises contre 173 tonnes indiennes. Il était donc naturel que certains analystes et professionnels expriment des inquiétudes quant à la corrélation indéniable entre le ralentissement prévu de l’économie chinoise et sa consommation -moins gourmande- du précieux métal jaune.
Fatalité des marchés d’investissement oblige ; les prévisions pessimistes des professionnels a fini par influencer -voire même orienter- le choix des investisseurs. C’est ainsi qu’au lendemain de l’annonce chinoise, le discours de Ben Bernanke aidant, la relique barbare s’est retrouvée en dessous de la barre des 1 700 dollars.
Une affaire à suivre !
On parle de taux, de croissance, de PIB, d’immobilier, d’assurance-vie… mais un actif traverse les…
Chaque week-end, des milliers de Français arpentent les champs, les forêts et les chemins anciens,…
Depuis quelques mois, un phénomène inattendu secoue les marchés : les investisseurs se ruent sur…
De plus en plus de Français ferment leur Livret A Le Livret A a longtemps…
Pendant des années, il a dormi au fond d’un relevé de compte. Aujourd’hui, il est…
L’or continue d’affirmer sa position de valeur refuge en 2025. Avec +45 % depuis le…