L’UDC (Union Démocratique du Centre, parti politique suisse de droite, moralement conservateur et économiquement libéral) a jusqu’au 20 mars 2013 pour récolter les 100 000 signatures indispensables au dépôt de son initiative populaire baptisée « Il faut sauver l’or suisse », visant à empêcher les ventes d’or de la Banque nationale suisse (BNS). Rappelons que le texte de cette initiative exige que l’or représente un minimum de 20% de l’ensemble des actifs de la BNS et que les stocks de ces réserves soient gardés sur territoire helvétique. Si le vote populaire faisait passer le texte, tous les stocks d’or devront alors être rapatriés en Suisse dans un délai maximum de deux ans. A plus long terme (un délai de 5 années), une part plancher de 20% d’actifs de la Banque nationale devra être composée d’or.
Car les politiciens, aguerris aux fluctuations des conjonctures en toutes sortes, ne se laissent pas duper par la correction passagère du métal jaune et gardent à l’esprit la salve déprimante d’indicateurs plus moroses les uns que les autres. Et le phénomène n’épargne ni l’Europe (où l’activité manufacturière a dégringolé en août à son plus bas niveau depuis 2 ans), ni les États-Unis (où le dollar joue à un dangereux yo-yo).
C’est donc vers la seule valeur refuge, l’or, que les vrais professionnels se tourneront toujours.
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