L’or n’attire plus seulement les épargnants prudents ou les retraités soucieux de protéger leur patrimoine. Depuis deux ans, une tendance inattendue s’accélère : les moins de 35 ans investissent massivement dans le métal précieux, séduits par sa stabilité et par une méfiance croissante envers les marchés financiers traditionnels.
Selon les données du World Gold Council, la demande mondiale d’or d’investissement a augmenté de 23 % entre 2022 et 2024, portée en partie par la génération Z et les jeunes actifs.
Ils plébiscitent l’or physique comme une “assurance” face aux crises bancaires, à l’inflation persistante et à la volatilité des cryptomonnaies.
Dans un contexte où le Bitcoin a déjà perdu plus de 60 % de sa valeur à plusieurs reprises au cours des cinq dernières années, l’or, lui, affiche une stabilité impressionnante :
+14 % sur douze mois, +55 % en dix ans, avec des phases de correction beaucoup plus douces que la plupart des actifs à risque.
Selon les experts du Comptoir National de l’Or (www.gold.fr), cette nouvelle génération adopte une stratégie qu’on ne lui prêtait pas : sécuriser avant de spéculer.
Alors que les marchés actions ont connu une année particulièrement secouée, l’or a atteint plusieurs records historiques, dépassant 2 400 $ l’once au printemps 2024.
Ce mouvement n’est pas anodin : il résulte d’un cocktail explosif de tensions géopolitiques, de politiques monétaires prudentes et surtout d’un facteur peu médiatisé :
les banques centrales sont devenues les premiers acheteurs mondiaux d’or.
En 2023, elles ont acquis 1 037 tonnes, soit l’un des achats annuels les plus élevés jamais enregistrés. Cette ruée institutionnelle rassure les épargnants, jeunes ou non, qui y voient le signe que l’or reste l’ultime valeur refuge quand tout vacille.
Les jeunes investisseurs ont grandi avec :
Ils ne croient plus à la promesse d’un avenir financier simple et linéaire.
L’or, à l’inverse :
C’est précisément cette absence de dépendance au système qui séduit les moins de 35 ans.
Beaucoup d’entre eux commencent par des achats modestes : lingotins de 5 g ou 10 g, pièces Napoléon, ou encore lingots fractionnés proposés par des acteurs spécialisés comme www.gold.fr.
Contrairement aux idées reçues, les jeunes n’achètent pas de l’or pour “s’enrichir rapidement”, mais pour :
Selon une étude 2024 du WGC, 42 % des investisseurs débutants considèrent l’or comme leur actif le “plus sûr”, loin devant les assurances-vie ou les obligations d’État.
Le Comptoir National de l’Or confirme cette tendance : en agence et en ligne, la part des acheteurs de moins de 30 ans a bondi de 18 % en deux ans.
Une évolution qui transforme profondément le marché.
Les signaux sont clairs :
• Les banques centrales continueront d’acheter massivement.
• L’inflation restera durablement plus élevée que prévu.
• Les risques technologiques et géopolitiques maintiendront la pression.
Dans ce contexte, les jeunes investisseurs ne font que tirer une conclusion logique : l’or reste, après 5 000 ans d’histoire, la seule valeur réellement universelle.
Pour ceux qui souhaitent sécuriser leur épargne ou comprendre comment intégrer l’or dans une stratégie équilibrée, les experts du Comptoir National de l’Or (www.gold.fr) rappellent qu’il existe aujourd’hui des solutions adaptées à tous les budgets, y compris les plus modestes.
L’or n’est plus un actif “d’ancien monde”.
C’est, au contraire, le premier refuge de la génération qui n’a connu que l’incertitude.
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