Rappelons en effet que depuis le mois de décembre 2015, l’once a gagné +29% en dollars, +26% en euros, +26% en franc, et même +44% en livre sterling ! Bon nombre d’économistes prévoient donc aujourd’hui que le métal jaune franchisse le cap des 2 000 dollars l’once d’ici la fin de l’année 2017.
Si le métal jaune brille autant, peu importe la devise considérée, c’est essentiellement en raison de sa valeur refuge. Le marché de l’or a effectivement été boosté par une série de facteurs internationaux ; accumulation des incertitudes (politiques, économiques et géopolitiques), niveaux historiques des dettes, bonne tenue de la demande d’or physique et le repli de l’attractivité des classes d’actifs traditionnels. De quoi garantir la hausse durable (sur le moyen et long terme) du métal jaune.
En définitive, et comme le souligne Dave Floyd d’Aspen Trading, aujourd’hui, « si vous n’avez pas d’or, c’est que vous ne prêtez pas attention aux marchés ! ». Autre facteur primordial de soutien ; le déséquilibre en offre et demande. En l’absence de découvertes de filons miniers importants, la production globale d’or devrait, selon le Crédit Suisse, reculer de 7% d’ici 2018.
Parallèlement à ce repli constant de l’offre, la demande, elle, ne cesse d’augmenter. Outre les 500 tonnes acquises annuellement par les banques centrales mondiales, la demande d’investissement (ETF aurifères) a également monopolisé quelque 489 tonnes d’or sur la période du premier trimestre 2016 seul.
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