Au total, le secteur de l’emploi aura généré quelque 287.000 nouveaux postes non agricoles, durant le mois de juin, selon le Département du Travail américain, à l’heure où les prévisions des économistes n’escomptaient que 180.000 nouvelles créations. La banque française Natixis a réagi à l’annonce de ces chiffres, estimant qu’un « rythme mensuel de plus de 200.000 créations de postes n’est de toute façon pas tenable, dans la mesure où seules 100.000 nouveaux emplois par mois suffisent à maintenir le taux de chômage à un niveau stable ».
Rappelons que le comité de direction de la politique monétaire américaine (FOMC) avait clairement indiqué que l’amélioration du volet de l’emploi représentait une condition indispensable à la reprise des mesures de sévérité monétaire du pays. Or, et en dépit des chiffres du mois de juin, le consensus expert estime que cette progression n’est pas suffisante, rappelant que la réserve fédérale américaine « est également désireuse de se donner un peu de temps pour savoir où en est le raffermissement de l’inflation et jauger l’impact potentiel du Brexit ». Peu d’analystes tablent donc aujourd’hui sur un relèvement des taux de l’institution avant le mois de décembre 2016.
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