Force est pourtant de constater que les nouvelles de la semaine traduisent une activité relativement dynamique, notamment au niveau du marché des devises et du marché pétrolier. Les observateurs avaient prévu de voir la forte baisse du pétrole, constatée depuis la fin de la semaine dernière, faire pression sur l’ensemble des marchés d’investissement et des places boursières. Ce facteur (traditionnellement de forte influence) n’aura pourtant pas ému les opérateurs.
Angus Nicholson, analyste chez le groupe IG, estime toutefois que « le fait que les marchés ignorent jusqu’à présent la chute des cours du pétrole devrait être perçu positivement, compte tenu de leur forte corrélation observée ces derniers mois ».
Suite à la panoplie de rapports et résultats statistiques, publiés également à la fin de la semaine dernière, la réaction des marchés aurait dû être plus notable et orientée dans le sens des chiffres annoncés, notamment ceux de l’emploi américain. Aucun indicateur –majeur ou autre- n’a pourtant réussi à distraire l’attention que les opérateurs focalisent sur la FED et la BCE. Barclays Bourse souligne, à ce sujet, que « pour le moment, c’est toujours la navigation à vue sur les indices actions… avec un marché action ingérable à très court terme ».
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