Les deux institutions publieront en effet les premières minutes de leurs dernières réunions de politique monétaire, durant les journées de mercredi et jeudi, respectivement. Et bien que la situation du marché pétrolier porte également à inquiétude, l’attention des marchés semble monopolisée par l’actualité FED et BCE. Les nouvelles en provenance des deux institutions ont beau éclipser communément toute autre actualité, il ne faut pas oublier qu’elles ont récemment pris des directions opposées ; en effet, à l’heure où la réserve fédérale américaine s’évertue à accumuler les bonnes raisons de durcir sa politique monétaire, la banque centrale européenne, elle, s’enfonce de plus en plus dans une stratégie ultra accommodante.
Rappelons d’ailleurs que cette semaine marque également le passage concret des injections mensuelles (rachat d’actifs obligataires) de la BCE de 60 à 80 milliards d’euros, conformément à l’annonce du président de l’institution, au début du mois de mars. Côté expert, on admet unanimement le rôle capital et clé des banques centrales majeures dans la direction future (à court, moyen et long terme) des marchés financiers et économiques. C’est notamment le cas des analystes d’Aurel BGC qui soulignent que « les investisseurs devraient encore essentiellement réagir aux anticipations autour des politiques monétaires de la Fed et de la BCE, avec un rôle encore déterminant du dollar dans l’orientation des marchés actions ».
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