Rappelons en effet que la semaine dernière s’était achevée sur une série de publications macroéconomiques, sur la rive américaine, couronnée par le rapport sur l’emploi US, publié par le Département de Travail américain. Hautement anticipé par la communauté experte et analyste, le rapport avait révélé certains résultats décevants, tout en présentant un bilan globalement positif. Le rapport révèle en effet que l’économie américaine a créé plus d’emplois qu’escompté, en mars, avec 215.000 emplois non-agricoles créés, contre un consensus plus pessimiste de 200.000 emplois.
Pour contrebalancer cette bonne nouvelle, le taux de chômage est ressorti en hausse de 0,1 point, à 5%, contre un consensus qui l’attendait en équilibre à 4,9%. Associé aux autres indicateurs macroéconomiques américains (indice de confiance du Michigan, activité du secteur manufacturier…) jugés positifs, ce rapport était sensé revigorer les places boursières européennes, dans le sillage de leurs homologues US. Les marchés de la zone euro débutent pourtant la semaine sur une note morose et dans un mouvement généralisé de repli inexplicable.
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