Mais cette indifférence des marchés s’est transformée en une morosité généralisée, la veille, suite aux attaques terroristes subies par la capitale belge, redorant automatiquement le blason de la valeur refuge aurifère. Certes, le palier des 1 270 dollars l’once, atteint et dépassé il y a trois semaines, demeure relativement hors d’atteinte, pour le moment. Mais le seuil des 1 250 dollars est bel et bien conquis à nouveau, et les analystes notent à ce sujet que, « à la différence des actifs risqués, par exemple les actions et le pétrole, le cours de l’or tend à profiter de la montée des risques géopolitiques que les attentats sanglants de Bruxelles viennent de rappeler ».
Une hausse assez timide, pour l’heure, mais qui devrait prendre plus d’ampleur, d’ici la fin de la semaine. Car en dépit des déclarations de plusieurs membres de la FED (dont notamment Dennis Lockhart, patron de la Fed d’Atlanta, qui maintient le scénario d’une hausse des taux directeurs de la Fed en avril), le contexte géopolitique international reste favorable à une nouvelle vague de hausse de l’or. En attendant, le volet des ETF aurifères continue à afficher une solide performance haussière à toute épreuve, se hissant de 819 à 821,7 tonnes, ce qui représente son meilleur palier depuis la fin 2013.
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