Rappelons en effet que, toujours sur le front américain, des craintes ont récemment émergé concernant la faillite de Cheseapake Energy, l’un des géants majeurs de la production d’hydrocarbures de schiste, entraînant automatiquement de sérieuses inquiétudes à propos de l’avenir même du secteur dans son ensemble.
Par ailleurs, le rendement de l’obligation fédérale américaine à 10 ans a enregistré une baisse, entre le mois de décembre 2015 et celui de février 2016, de l’ordre de 0,55%. Une telle évolution négative bénéficie automatiquement et directement aux prix du marché aurifère, du fait de son rendement nul (soit à 0%). C’est également une raison supplémentaire qui renforce les opérateurs dans leur conviction que la réserve fédérale américaine ne procèdera pas dans l’immédiat à un nouveau relèvement de ses taux. Côté européen, les experts rapportent que « les tensions politiques et budgétaires en périphérie de la zone euro sont de retour, notamment autour de la Grèce, du Portugal et de l’Italie et des systèmes bancaires correspondants ».
Du coup, le prix de l’once a accumulé, depuis le début de la nouvelle année, des gains de l’ordre de 9%, ce qui lui permet, selon les analystes Matières premières de Commerzbank, de « surperformer toutes les autres matières premières ainsi que toutes les autres classes d’actifs ».
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