Rappelons en effet que, en cette séance finale de la semaine, le baril de brut léger US a enregistré une baisse de l’ordre de 0,2% à 31,6 dollars. Pourtant, le prix du baril avait marqué une belle hausse, durant la séance du jeudi, redonnant de l’espoir à des opérateurs en quête d’un bon catalyseur, et provoquant rapidement « une vague grandissante d’optimisme quant aux cours du brut à moyen terme ». Un optimisme aussitôt tué dans l’œuf par cette chute finale de la semaine.
Toujours est-il que les variations pétrolières en montagnes russes monopolisent actuellement l’attention des marchés, éclipsant sans cesse les déceptions répétitives des statistiques macroéconomiques américaines, dont les plus récentes consistaient notamment en une hausse inattendue du nombre des inscriptions aux allocations chômage, ainsi qu’une chute de 2,9% des commandes industrielles (mois de décembre 2015).
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