Par exemple, Bank of America-Merrill Lynch maintenait récemment ses prévisions pour un objectif de 2.000 dollars l’once à 12 mois. En justification d’une telle ambition, l’institution évoque, entre autres, les acquisitions solides et constantes des banques centrales émergentes, la dégradation des bilans de la BCE et de la Fed ou encore les taux d’intérêt réels toujours négatifs. Loin de craindre le ralentissement de la primordiale demande chinoise, les analystes sont donc confiants que les investisseurs devraient demeurer dans une lignée d’achats nets d’or.
Dans tous les cas, il ne faut pas oublier que le métal jaune en est actuellement à sa douzième année de progression. L’or demeure incontestablement un investissement très recherché pendant et en dehors des temps difficiles de l’incertitude économique, de taux d’intérêt plancher et d’injections massives de liquidités par les banques centrales.
D’ailleurs, à ce propos, rappelons que la BCE vient de permettre aux banques européennes d’obtenir 530 milliards d’euros supplémentaires sur trois ans, soit en deux mois, 1 000 milliards d’euros de plus.
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