Dans un contexte plutôt hostile dû à la peur que la crise de la dette européenne ne se poursuive après la réunion de fin de semaine des ministres du G20.
Il faut toutefois préciser que les pertes sont limitées par les appréhensions causées par l’augmentation des prix du pétrole.
Le sommet du G20 a quelques peu paralysé les contrats sur l’or après que les ministres des finances et les banquiers centraux invités aient échoué à faire accroître la capacité de prêt du Fonds Monétaire International.
Effectivement, le G20 n’a pas réussi à prendre une décision radicale dans le plan destiné à contrecarrer la crise de la dette souveraine en Europe.
Les 20 pays se sont contentés de remettre à plus tard cette décision et ont affirmé que la prise de position concernant l’aide extérieure dépendrait de l’aptitude des gouvernements régionaux à soutenir leurs pare-feux dans les prochains mois.
Les observateurs sont également très vigilants dans l’ombre de la décision du parlement allemand qui s’apprête à voter pour un plan de sauvetage de 130 milliards d’euros pour la Grèce (accord de la semaine dernière des ministres des finances).
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