Il semblerait que la BCE soit à l’origine de cette situation. En effet, la semaine dernière, l’annonce de l’organisation européenne avait réduit à néant la solution ultime et efficace (selon la plupart des analystes) à l’expansion de la crise d’endettement en zone euro. La BCE est catégorique : elle n’interviendra pas significativement sur le marché obligataire afin de soutenir les pays européens endettés. Voilà qui est clair ! Venu s’ajouter à ces déclarations décevantes : le sommet de Bruxelles durant lequel les chefs des états membres de l’Union européenne (UE) avaient tenté désespérément de trouver une solution concrète et efficace à cette crise. Une solution rejetée par le Royaume-Uni. Pas de solution, donc, puisque l’unanimité est exigée. Andrey Kryuchenkov, analyste chez VTB Capital, indique que ce sommet (qui a eu lieu vendredi) représentait tout simplement « la dernière chance pour les dirigeants de convaincre les marchés que la crise peut être contenue ».
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